dimanche 17 septembre 2017

Messieurs les évêques, qu'il s'en aille

Non Messieurs les évêques, Faure a eu douze longues années pour remettre en place la Constitution qu'ils ont violée et culbutée en une seule nuit. Maintenant, il faut qu'il s'en aille.

Si quelque chose de bien pouvait venir de vous les évêques, il y a longtemps qu'on l'aurait vu. De vos nombreuses médiations aux accords perfides de San egidio consacrant le mariage putride entre la tyranie et le pseudo rejeton de Sylvanus, sans oublier vos présidoires de commissions aux noms kilommetriques, vous aviez prouvé à suffisance ce dont vous êtes capables.

Non, plus personne ne demande une quelconque réforme. Nous savons déja qui sera l'enculé dans  l'histoire. Ce dont il est question maintenant, c'est le départ pur et simple de celui qui n'a pas hésité à venir dans un bain de sang ou qui s'obstine à ne faire de concession tant qu'il n y aura pas un autre bain de sang. Nous savons tous que votre fond de commerce n'est autre que le sang. Pardonnez le mécréant que je suis. Mais je me permets de vous rappeler que notre sang à nous est humain et non divin. Et lorsque les balles sifflent et nous trucident, nous n'avons pas l'habileté de nous ressusciter trois jours après. Demandez à Anselme et à Douti...

De grâce, dîtes à votre fils de s'en aller. Nous vous promettons que vous aussi, vous en beneficierez. Une fois que les chômeurs parmi nous auront la chance d'être employés et que les salaires seront décents, les deniers de cultes, Messeigneurs s'en porteront aussi mieux. Pour l'amour de vous-mêmes, dites-lui de s'en aller.

#TogoDebout

"Il n y a ni blanc ni noir d'un coté. Seuls ceux qui vitriolisent le comprennent" .

Sosthene Houmey-Hakeh

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